Gorgeous visuals, incredible music, beautiful symmetry all over the place, David Attenborough narrating animal stuff, close-ups of living and decaying nature, a weird story with strange twists driven by unusual characters; A Zed & Two Noughts had me captivated from start to finish!
What a glorious offbeat masterpiece!
Eighteenth watch of Weirdvember
Très exactement mon genre de shit.
En guise de review, voici des points importants sur pourquoi ce film est de la putain de bombe:
-Expérimental à souhait mais suffisamment narratif pour avoir des repères faciles.
-Un propos "fuck toute et tout le monde est cave" brillamment traité et mis en scène.
-Une critique sociale et politique zéro voilée qui résonnait pile à a la bonne place en moi.
-Une vulgarité excessive tellement bien intégrée au personnage et au récit qu'elle…
Ouin, finalement y'a pas tant de lien que ça entre ceci et You Were Never Really Here, à part:
1. Les titres qui se répondent
2. Joaquin Phoenix qui se donne en malade
3. Joaquin Phoenix en chest qui erre lentement dans une scène cathartique à la fin du film
4. Une thématique d'aliénation (à differents degrés: ici on a une aliénation qui s'agrandit sous nos yeux et dans l'autre film c'est sur les conséquences aliénantes d'une vie de traumatismes; pareil mais différent, ça compte comme un point commun)
5. Une grosse barbe (symptôme apparent de la dite aliénation)
Je retiens ma note pour l'instant parce que j'me suis endormi sur la fin comme un amateur.
Mais de ce que mon amie m'a raconté de ce que j'ai manqué, ça s'orchestre à merveille avec le reste (qui était, so far, excellent avec une soundscape incroyable).
Je le revois bientôt et je note ça comme du monde.
La cruauté classique des films de Lanthimos détournée par une protagoniste qui souhaite éliminer la cruauté du monde (mais qui ne connait pas grand chose au monde et s'y prend d'une façon, disons, intéressante).
Comme si Lanthimos lui-même essayait de ne pas être trop cruel envers ses personnages pour une fois, mais, ne sachant pas comment s'y prendre, met tout ses efforts de gentillesse dans une protagoniste qui ne sait pas comment s'y prendre non plus.
C'est aussi incroyablement beau…
